Thursday, January 29, 2004

Instead of getting to work, I've translated the first Severance Song into French:
La mer qui sent comme d’autre déconcerte
et me bat. Là une chemise blanche flambant sous un blazer.
Là une robe d’été tourbillone dans le soleil d’avril. Les agents d’air
soulèvent et taquinent nos habits, ils dévoilent la masse sous la forme.
Une porte se claque et les arrêts de vent. Entièrement local est notre sens de la mer:
brume sur l’Adirondacks, orge brûlant sur les Plaines,
le brouillard se tapissant parmi les points rocheux de Big Sur.
Le sens de la forêt dans le sein, dans la narine:
la terre et le sapin c’est un peu de lumière
a dispersé sur les aiguilles qui sont aussi bleues que l’eau de javel.
Luxury and calm, son visage de renard, son corps, voluptuousness
sensible des vêtements, l'amoureux synthétique
de la désobéissance de l'homme, mûr au bout, au langue—
le fruit me parlant, m’effrayé, dans un monde métallique avec nos habits.
And here's the original:
The sea that smells of another baffles
and batters me. There a white shirt blazing under a blazer.
There a summer dress aswirl in April sun. Agents of air
lift and tease our habits, disclosing mass in form.
A door slams and the wind stops. Entirely local our sense of sea:
mist on the Adirondacks, barley burning on the Plains,
fog crouching among the rockpoints of Big Sur.
The sense of forest within the breast, in the nostril:
earth and fir, a little light
scattered on bleach-blue needles.
Luxe, et calme, her vixen face, body, volupté
sensible of clothes, the manmade lover
of man’s disobedience, ripe at the tip, the tongue—
the fruit speaking me, afraid, in a world metallic with our garments.
Perhaps a more skillful speaker of French could let me know where I've gone wrong. Actually I know where I went wrong—deciding to write a dissertation. I kid, I kid.

No comments:

Post a Comment